Roxie, je le sais que tu comprends pas pourquoi qu’y'a (qu’il y a) des gens qui fument. J’ai jamais fumé, pis t’as jamais fumé non plus. Pis ça tombe bien parce que t’aurais pas été capable de botcher, à cause que t’es[-t-]un chien.
Tu le sais, ma belle petite Roxie, la cigarette, c’est dangereux même pour toi. C’est pour ça que je t’ai dressée à attaquer les fumeurs. Je me rappelle le premier fumeur que t’as attaqué.
C’était tellement drôle. Je me souviens, toi t’étais partie à courir vite, vite, vite. Pis lui, ben, il pouvait pas courir à cause que c’est un fumeur. Pis pendant que t’étais en train de planter tes crocs dans sa main toute jaunie, moi, j’étais fier de toi.
Je veux que tu mordes dans la vie, même si pour ça, Roxie, il faut que tu mordes dans des gens qui sentent la vieille chambre d’hôtel. Je t’aime, Roxie.
Un gars le soir est fier de ne pas s’associer au message culpabilisant pour un avenir sans fumée.
Un gars le soir, tous les jours de la semaine, 22 h.
In English:
Roxie, I know you don’t understand why there are people who smoke. I’ve never smoked, and you’ve never smoked either. Which is a good thing because you’d have never been able to stamp your cigarette out, ‘cos you’re a dog.
You know, my sweet little Roxie, smoking is dangerous, even for you. That’s why I trained you to attack smokers. I remember the first smoker you attacked.
It was so funny. I remember you took off running fast, fast, fast. And he, well, he couldn’t run ‘cos he’s a smoker. And while you were busy digging your fangs into his yellow-stained hand, me, I was proud of you.
I want you to take a bite out of life, Roxie, even if it means that you have to bite people who smell like old hotel rooms. I love you, Roxie.
Un gars le soir is proud to not be associated with this guilt-inducing message for a smoke-free future.
Un gars le soir, every weekday, 22 h.